Un homme quitte son travail pour s’occuper de sa grand-mère mourante, motivé par sa fortune. Il compte gagner ses faveurs avant qu’elle ne meure. C’est en fait le premier film d’Usa Semkhum, une femme au foyer de 78 ans, qui joue le rôle de la grand-mère Meng Ju. M : Vous sentez-vous parfois seul ? Amah : Je n’appellerais pas cela de la solitude. Cela fait partie du processus de la vie. Amah : J’ai un problème avec le lendemain du Nouvel An chinois. Quand tous les restes de la veille sont dans le réfrigérateur et que je sais que je vais devoir tout manger tout seul. “Touchant, émouvant, mais pas vraiment émouvant. Ce film tire sur les cordes sensibles, évoquant un sentiment de nostalgie et de sentimentalité pour tous les membres de la famille.” Il s’efforce de maintenir une atmosphère de bien-être sans trop plonger dans le mélodrame ou le stress. Avec une forte influence du drame japonais, l’ambiance et le ton donnés par la bande sonore donnent au film une atmosphère charmante et agréable, pas trop triste. Même si certaines tentatives de détente comique peuvent paraître un peu inutiles, le film parvient globalement à trouver un équilibre qui l’empêche de sombrer dans une tristesse accablante. Il y a néanmoins de nombreuses scènes qui vous feront pleurer.